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La loi de 1810, prévoyait une procédure administrative très précise pour que les forges déjà existantes ou voulant augmenter leur activité ou se créer puissent le faire. la plus-part des propriétaires de forge l'on obtenu malgrès des temps de réponse parfois un peu longs de ceux-ci et encore plus long de la part de l'administration.

Très peu de refus catégoriques sont à singaler, on signalera ici celui de la forge de Guimalet à Anlhiac (Génisse) mais il étai déjà antérieur à la loi de 1810

Déjà, en 1806, une opposition confirmée par le gouvernemant, avait été faite par les mines à la création de la forge de Guimalet appartenant à Monsieur M. Antoine DAUVERGNE .
Il ressort de cette décision que le Préfet avait omis de prendre l'avis de l'ingénieur des mines et du conservateur des forêts de l'arondisement. Avant même la loi de 1810, ces procédures existaient donc déjà (loi de 1791).

Dans ce dossier, on trouvera surtout, une pétition venant des concurrents du citoyen Dauvergne comme Combescot son voisin et d'autres maîtres de forge de la proche région dénonçant M. Dauvergne à propos du moulin qu'il a transformé en forge au mépris de la loi du 28 juillet 1791.
D'après eux, cette forges trop proche de Celle d'Anlhiac exploitée par M. Combescot et d'autres encore déjà en activité dans cette vallée de l'Auvezère comme Savignac, Miremont, Malherbaux, Bord, Beausoleil, Gandumas.
En plus de ce problème de concurrence avéré, ils mettent en avant la pénurie de resource en bois de la région qui met les forges en chaumage pendant 3 à 6 mois par an.

Cette opposition, a donc le mérite de montrer l'ambiance à l'époque qui n'était pas sipmlement commerciale mais aussi écologique, puis qu'on se rend compte que pour alimenter les fourneaux, on n'hésitait pas à couper les arbres avant leur maturité
  
Réguler la concurrence
Limiter un désastre écologique