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La forge de Paradoux avait déjà eut une autorisation de reprise d'activité en 1805. En 1832, Monsieur LAVERGNE, alors exploitant de la forge de PARADOUX sur la Beune de Cancou ajoute un haut-fourneau à son usine. Celle-ci sera alors équipée de son Haut-fourneau pour fondre le minerais, de deux affineries, d'une machine soufflante à pistons, de deux martinets, d'un bocard à crasse, d'un lavoir à minerais et de batiments accessoires. Le fer ainsi produit sera transfomé, pour les besoins locaux en socs de charrues, essieux, bandes de voitures et outils agraires.
  
Ci-dessus : Plan de l'installation que vous traversez  en allant visiter les cabanes du Breuil

Ci-dessous : Extraits des plans du Haut-fourneau
Ci-dessous, l'intérieur de la forge

A gauche,
  
  • Détail du fonctionnement des pistons (D),
  • De la roue actionnant les pistons (B)

Et à droite, le plan d'un martinet
Source AD24