Né le 1er Avril 1862 Rue de la Mare Noire à La Couarde Sur Mer (Ile de Ré, 17)
Epouse en seconde noce Marie TIERCELIN le 3 avril 1917 dont naîtra Pierrette, ma mère.
Décédé le 1er Avril 1939 à Voulon (Vienne - 86)
Epouse en première noce Marie Augustine PLUMEREAU (décédée le 25 mai 1916) à Poitiers le 20 octobre 1804
Jeunesse :
Orphelin à 14 ans de Pierre BONNIN, marin,
Il fut accueilli par son oncle Maternel, Jacques BRIN, Boulanger à St Martin
Pierre qui n'est pas un manuel mais un très bon élève ne se sent pas bien chez son oncle.
Il est placé chez un greffier et ses camarades qui sont au collège à La Rochelle lui apportent des livres et des cahiers lors des vacances.
Son oncle tient une comptabilité démente, rien n'est oublié, une gomme, un crayon, tout est compté.
Et tout ce que ses parents auraient pu lui laisser, bateau, champs, vignes est vendu
Carrière à la Poste :
Un jour un ami lui apprend qu'un concours des PTT est ouvert, mais il faut connaître le morse. Astucieusement, il va l'apprendre en frappant deux couteaux en croix.
Grâce à cette astuce, il réussit à rentrer aux PTT d'abord à La Rochelle pour quelques mois, puis à Poitiers comme commis principal où il participera au sauvetage de la poste lors de l'incendie du 25 juillet 1911, ce qui lui vaudra les palmes académiques qui lui seront décernées le 19 avril 1913.
Il passera au grade de Contrôleur
A la retraîte il partira vivre avec sa femme et sa fille à Voulon
Epouse en seconde noce Marie TIERCELIN le 3 avril 1917 dont naîtra Pierrette, ma mère.
Décédé le 1er Avril 1939 à Voulon (Vienne - 86)
Epouse en première noce Marie Augustine PLUMEREAU (décédée le 25 mai 1916) à Poitiers le 20 octobre 1804
Jeunesse :
Orphelin à 14 ans de Pierre BONNIN, marin,
Il fut accueilli par son oncle Maternel, Jacques BRIN, Boulanger à St Martin
Pierre qui n'est pas un manuel mais un très bon élève ne se sent pas bien chez son oncle.
Il est placé chez un greffier et ses camarades qui sont au collège à La Rochelle lui apportent des livres et des cahiers lors des vacances.
Son oncle tient une comptabilité démente, rien n'est oublié, une gomme, un crayon, tout est compté.
Et tout ce que ses parents auraient pu lui laisser, bateau, champs, vignes est vendu
Carrière à la Poste :
Un jour un ami lui apprend qu'un concours des PTT est ouvert, mais il faut connaître le morse. Astucieusement, il va l'apprendre en frappant deux couteaux en croix.
Grâce à cette astuce, il réussit à rentrer aux PTT d'abord à La Rochelle pour quelques mois, puis à Poitiers comme commis principal où il participera au sauvetage de la poste lors de l'incendie du 25 juillet 1911, ce qui lui vaudra les palmes académiques qui lui seront décernées le 19 avril 1913.
Il passera au grade de Contrôleur
A la retraîte il partira vivre avec sa femme et sa fille à Voulon
